La République

Auteur: Platon

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Le Banquet

Platon

Le Banquet de Platon est une série de discours sur l’amour prononcés lors d’un festin dans la Grèce antique. Ils traitent des questions suivantes : ce qu’est l’amour ; les relations interpersonnelles par l’amour ; les types d’amour qui sont louables ; le but de l’amour ; et d’autres encore. Il s’agit du premier grand texte philosophique sur l’amour dans la littérature occidentale. Elle peut être classée comme une tragicomédie, utilisant des éléments des deux genres.

Le dialogue d’introduction traite des couches complexes du récit, car le lecteur est très éloigné du narrateur original de l’histoire, Aristodème, et des fois où Apollodore a repris l’histoire. L’histoire elle-même est racontée du point de vue d’Aristodème, qui a rencontré Socrate alors qu’il se rendait au symposium d’Agathon.

Phédon

Platon

Le Phédon, également connu des lecteurs de l’Antiquité sous le titre De l’âme, est l’un des dialogues les plus connus de la période médiane de Platon, avec La République et Le Symposium. Le thème philosophique du dialogue est l’immortalité de l’âme. Il se déroule dans les dernières heures précédant la mort de Socrate, et c’est le quatrième et dernier dialogue de Platon à détailler les derniers jours du philosophe, après Euthyphro, Apologie et Criton.

L’un des principaux thèmes du Phèdre est l’idée que l’âme est immortelle. Dans ce dialogue, Socrate discute de la nature de l’au-delà le dernier jour avant son exécution en buvant de la ciguë. Socrate a été emprisonné et condamné à mort par un jury athénien pour avoir mécru aux dieux de l’État et corrompu la jeunesse de la ville.

Gorgias

Platon

Le Gorgias est un dialogue socratique écrit par Platon aux alentours de 380 avant Jésus-Christ. Le dialogue dépeint une conversation entre Socrate et un petit groupe de sophistes (et d’autres invités) lors d’un dîner. Socrate débat avec le sophiste à la recherche de la véritable définition de la rhétorique, tentant d’identifier l’essence de la rhétorique et de découvrir les défauts de l’art oratoire sophistique populaire à Athènes à l’époque.

L’art de la persuasion était largement considéré comme nécessaire pour obtenir des avantages politiques et juridiques dans l’Athènes classique, et les rhétoriciens se présentaient comme des maîtres de cette compétence fondamentale. Certains, comme Gorgias, étaient des étrangers attirés à Athènes en raison de sa réputation de sophistication intellectuelle et culturelle. Socrate suggère qu’il est l’un des rares Athéniens à pratiquer une véritable politique.

Le Timée

Platon

Timée est l’un des dialogues de Platon, principalement sous la forme d’un long monologue donné par le personnage-titre Timée de Locri, écrit en 360 avant J.-C. L’œuvre soulève des spéculations sur la nature du monde physique et des êtres humains et est suivie du dialogue Critias.

Les participants au dialogue sont Socrate, Timée, Hermocrate et Critias. Certains chercheurs pensent que ce n’est pas le Critias des Trente Tyrans qui apparaît dans ce dialogue, mais son grand-père, qui est également appelé Critias. Certaines traditions (Diogène Laertius VIII av. J.-C.) d’Hermippus (IIIe siècle av. J.-C.) et de Timon (320-230 av. J.-C.) ont suggéré que Timée avait été influencé par un livre sur Pythagore, écrit par Philolaus, bien que cette affirmation soit généralement considérée comme fausse.

Hippias majeur

Platon

Hippias majeur appartient aux premiers dialogues, écrits alors que l’auteur était encore un jeune homme. Sa date précise est incertaine, bien que la date de 390 avant J.-C. ait été suggérée. Son authenticité a été mise en doute.

Dans Hipias major, Socrate et Hipias se lancent à la recherche d’une définition de la beauté, mais sont voués à l’échec en raison de leur incapacité à formuler une réponse qui englobe l’ensemble du concept. Le terme grec réel utilisé dans le dialogue est καλόν, qui, en tant qu’adjectif, signifie souvent beau, ou noble et beau. Pour cette raison, des traducteurs comme Paul Woodruff traduisent généralement le terme (τὸ καλόν, le nom abstrait de l’adjectif) par le fin (les choses) plutôt que par la beauté.